Elsihana arriva dans la bibliothèque et vérifia qu'il n'y avait personne. Elle tenait dans ses mainsun sac en toile grise. A sa taille pendait sa dague nommée "Gondorià". Sur son épaule, Piligwël l'oiseau des rêves dormait. Elsihana avait revetue une longue robe en satin noir, très élégante. Par dessus, elle avait aussi mis sa longue cape noire, et avait rabatu la capuche sur sa tête. La jeune fille alla derrière une étagère remplit de livres, et posa sa main contre la pierre dure et froide qui composait les murs de l'école. Elsihana résita une courte formule magique dans une langue inconnue, mais si douce. Celà pouvait être de l'elfique.
- << Triagle endor mià >>.
Et une porte en bois noir, surement de l'ébène apparu dans le mur. Elsihana sortit d'autour de son cou, une petite clé en argent certit d'or. Elle la glissa dans la serrure de la porte, et celle-ci dans un dout grincement s'ouvrir, sur un tunnel sombre, où sur les murs était disposé des torches éteinte. Elsihana frappa dans ses mains en murmurant:
<< Azerty >>
Et les torches s'allumèrent pour diffuser une lumière blanche tout le long du tunnel. Elsihana referma soigneusement la porte, sans faire de bruit. Elle remit la clé suspendut à une chaîne en argent autour de son cou, et commenca à avancait dans ce tunnel. Elle marcha pendant a peu près 3 minutes, jusqu'à arriver devant une autre porte, mais celle-ci plus claire, elle devait être en chêne. Elsihana n'eu même pas le temps de poser la main sur la porte, que celle-ci s'ouvrit aussi tôt. Sur le visage de la jeune fondatrice, apparut un petit sourire. Elle avanca dans une grande pièce allumait par des multitude de bougie blanche. Au milieu de cette pièce, il y avait une table rectangulaire, au dessus, était posé plein d'ustensiles de magie, telle que des plumes, un pendules, une baguette...
Elsihana s'approcha de la table, et posa son sac en toile. Puis, elle enleva sa cape, et la posa sur une chaise tout près. On pouvait dés a présent, voir sa magnifique robe.
Au milieu de cette grange pièce, il y avait un gigantesque pentacle, gravait à même le sol. Elsihana reconnut en son milieu, la coupe sacré de son ami.
Elle murmura :
- Léo, tu es là ?